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Prénom : Yûji
Nom : Yosuke
Âge : 21
Profession avant la disparition : Etudiant

  Physique

  Yûji est un grand homme mesurant 1m93, il possède des cheveux noir de jais légèrement ébouriffés, de par sa carrure droite, costaude et carrée, une musculature très bien dessinée ainsi qu'un corps robuste, son visage est composé de très fins traits, le laissant paraître aussi innocent qu'une personne de jeune âge, souriant très souvent, TROP souvent, il est très peu tactile au contraire de son expression faciale

  Mental

  Yûji est un garçon bon-vivant, toujours souriant et très rarement de mauvaise humeur, si vous avez le malheur de le voir énervé, fuyez. Il est très flemmard et bordelique, il n'a pas le sens du rangement ni la notion du temps, toujours perdu dans ses pensées. Il est très futé et réfléchit dans ses actes, bien qu'il ait souvent tendance à laisser parler ses poings plutôt que son cerveau. Il est téméraire et très têtu, doublé d'un caractère borné.

  Histoire

  Je vais vous parler d'un jeune enfant nommé Yûji, né le 10 mai 3061, son histoire commence alors que son quatrième anniversaire surgit d'un calendrier dont la date est entourée d'un trait rouge avec écrit en son centre "Happy Birthday Yûji-kun !! ♥", alors qu'il avait 4 ans, Yûji vivait parmi une famille en difficulté financière qui se tuait à faire respecter la tradition des anniversaires. Alors, chaque année ses deux parents se ruinaient à lui offrir un cadeau digne de ce nom, de ce fait, ils peinaient à lui offrir une scolarité normale alors que leur fils, lui, ne se montrait pas à la hauteur de leurs espérances. Ils continuaient à sourire malgré eux en le regardant baigner dans le bonheur, ayant  eux-même eu une enfance difficile. Sa mère était couturière dans un petit magasin très peu populaire dans la banlieue de Tokyo, son père, lui, possédait un dojo dans cette même banlieue, malheureusement pour lui, sa popularité ne le précédait pas et, dans ses temps libres il entraînait Yûji à l'art du katana ainsi que les arts martiaux, et, comme susdit, il en avait beaucoup, à son désagrément. Le jeune enfant qu'était Yûji, séchait souvent les cours pour aller voir son père, qui, bien qu'énervé de ses agissements, était heureux de le voir et de pouvoir passer du temps avec lui. Etant donné qu'ils vivaient dans un quartier mal-famé, le père de Yûji souhaitait absolument lui apprendre à se battre. Alors que les années passèrent pour le jeune garçon et sa famille, elles devenaient tout aussi difficile à supporter en terme économique qu'en terme social, les bagarres régulières et involontaires du jeune garçon forgeaient une réputation sur sa famille alors que cela faisait maintenant 12 ans que ça durait. Il y a désormais 7 ans depuis la mort de son père, et cela faisait 7 ans que Yûji portait toujours un katana scellé dans son fourreau, semblant inutilisable, alors que lui s'en servait comme batte de baseball ou bâton quelconque, sa maîtrise en était parfaite. Il avait maintenant 16 ans et sa vie était redevenue paisible auprès de sa mère qui endurait plusieurs maladies dû au surmenage, il avait correctement reprit les cours et avait recadré son comportement à l'égard des autres, bien que de base il était doux, souriant, gentil et apaisant. Les années passèrent et il pu obtenir son diplôme pour se diriger vers une université d'ingénierie, de son temps libre il cherchait à avoir des petits jobs à mi-temps pour payer le traitement de sa mère. Malheureusement elle décéda d'une insuffisance cardiaque congestive, le traitement était beaucoup trop cher pour que de simples jobs à mi-temps puissent combler ce manque. A la mort de sa mère, Yûji ne ressentait grande tristesse, à vrai dire, son quotidien était la tristesse elle-même bien qu'il gardait encore le sourire. Vous savez, on dit souvent que les gentils se font écrasés, mais je pense bien que pour lui "La gentillesse est la noblesse de l'intelligence". Suite à la mort de sa mère, avec l'argent empochée, il s'acheta un petit appartement dans lequel il prit les anciennes affaires de ses parents et de vieux dessins qu'il s'amusait à faire dans sa jeunesse lointaine, il n'oubliait certainement pas son katana qu'il eut à l'âge de 4 ans, toujours scellé. Il ne daignait pas dégainer celui-ci, ayant lui-même peur de la haine qui s'en dégagerait. C'est alors qu'il demeurera scellé jusqu'à ce que la haine s'emparera de lui et que les pulsions corporelles le pousseront à le dégainer. Un 5 juin 3082, Yûji se remémora de son anniversaire qui était le 10 mai, et bondit de son lit empli de miettes et de résidus de nourritures, s'habilla en vitesse et sortit en courant de chez lui, il se mit alors à marcher dans les rues de la banlieue quand il décida d'aller dans le centre-ville, à pieds. Il marchait en scrutant les magasins, ne sachant quoi s'offrir malgré son faible budget, il vit alors un petit magasin de souvenirs en coin de rue et décida d'y faire un tour, pensant que son budget n'en prendrait pas un trop gros coup. Il y entra et vit un étrange petit homme vêtu d'une manière assez extravagante, celui-ci s'exprima alors qu'une petite clochette retentit à son arrivée :"Bienvenu ! Je vous en prie, faites comme chez vous !" Yûji, bien qu'un peu douteux du luxe de ce magasin qui l'opposait complètement à la façade, fit un tour dans l'établissement. Il revint à la caisse pour demander d'un ton sec et froid au vendeur :"Dites, où est-ce qu'on peut trouver des fourreaux de katana ?" A ces mots le petit vendeur entama une longue discussion, comme s'il s'intéressait à Yûji et son katana qu'il portait tout le temps, la conversation durait des heures.. des heures.. sans pour autant que l'un d'eux ne veuille s'arrêter de parler. Yûji semblait en avoir marre de cette conversation et souriait bêtement aux propos du vendeur qui continuait éternellement de parler. La conversation prit fin et le vendeur voulu amener notre jeune homme dans une salle à l'écart qui, pour lui, renfermait des tonnes d'étuis métalliques vendables, il arriva devant une porte en bois composée d'une poignet métallique de couleur argentée, et, le vendeur s'empressa de lui autoriser l'accès d'un geste répulsif sur sa main, le forçant à ouvrir. La salle est sombre, mais le seul gérant de la boutique allume la lumière. Yûji se trouve alors ébloui par la lumière, puis par les diamants et les pierres précieuses qui étaient sur ces magnifiques horloges. Yûji se mit à les fixer, il leva les yeux vers haut pour voir des horloges blanches tachetées de rouge, les aiguilles étaient remplacées par des doigts humains synthétiques. Mais les horloge étaient très belles, car les doigts étaient fins et gracieux, mais ils avaient l'air un peu tombants donc Yûji ne pouvait pas vraiment connaître l'heure exacte déjà qu'il n'avait pas la notion du temps. Par la suite son regard se porte sur une pendule ornée de diamants. Elle était entièrement couverte de pierres précieuses, et il y avait un bouton poussoir au dessus de celle-ci. Sur le bouton, il y avait écrit " SURPRISE ". Yûji se voit  amusé, un énorme sourire aux lèvres, et appuie sur le bouton. Grave erreur. A cet instant Yûji ne sentait plus le sol sous ses pieds, il n'entendait que les bruits des horloges et un rire malicieux derrière lui. C'était évidemment le vendeur. Le jeune homme n'a pas le temps de se retourner, il est déjà tombé. Sa chute est longue, sa chute est lente, mais finalement après plusieurs minutes, il tombe. Il a l'impression de marcher, sur de la neige ? Non, sur du sable ? Non, sur une surface inconnue pr"voyant la même texture, et puis soudainement, le trou noir. Yûji est endormi pendant une période indéterminée. Mais lors de son réveil, il voit le ciel. Le ciel magnifique, bleu recouvert de quelques nuages, puis il regarde autour de lui et il voit un magnifique paysage, des papillons, des fleurs, et plein d'autres merveilles mais une chose l'interpelle. Autour de lui, il y a des inconnus.
La notion du temps.. hein ? Qui aurait cru que même dans cette situation, le temps lui même deviendrait son ennemi ?


Sacrées épreuves. Qui dirait qu'une simple pendule vous ferait frôler la mort.

 

  TOI, IRL !

Prénom : Noah
Âge : 21 ans
Hobbies : J'en ai pas, alors si tu m'en trouves, baaah, bravo.
Un petit commentaire ? : Je suis un glandeur catégorie S+, alors vaincs moi.
Et t'auras mon respect.

 
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